Flaks Michaël – Chroniques de la Route Mandarine

À Saïgon, les enfants de la rue m’appelaient «Maï Côn», «Petite Fleur du Têt», ou, plus simplement, «Fleur». Ces enfants étaient Amérasiens. Il y avait Thuy, Huy, Heck ou Maï. Une autre «Fleur».Durant toutes ces années, je les avais vus grandir, près du port. Ils vendaient des noisettes et des cigarettes étrangères (le prix d’un paquet … Lire la suite de Flaks Michaël – Chroniques de la Route Mandarine